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Découvrez le nouveau site des Alumni !

Bienvenue dans votre site HEMA Alumni dédié aux diplômés du Groupe HEMA.

A quoi sert ce site ?

  • A mettre à jour de façon immédiate vos coordonnées pour l’annuaire et éventuellement permettre à d’anciens élèves (ou des recruteurs) d’avoir accès online à vos coordonnées, votre photo et/ou votre CV.
  • A avoir accès à un puissant moteur de recherche, vous permettant de retrouver les coordonnées d’un ancien, par nom, prénom, promo, entreprise, secteur, département ou pays.
  • Vous permettre d’être tenu au courant ou contacté par mail dès qu’une entreprise cherche à recruter des anciens.
  • D’être tenu au courant de nominations, ou d’événements heureux d’anciens élèves et/ou de leurs publications…
  • De pouvoir envoyer des mails à tous les anciens élèves de votre promotion.
  • D’être tenu au courant des activités de l’association : Clubs, Conférence, Evénements etc…

 

Sur ce site vous pourrez bénéficier de nos différents services :

 

Annuaire en ligne

L’annuaire vous permet de retrouver facilement les alumni du groupe, grâce à la géolocalisation et un moteur de recherche puissant.

 

Offres d’emploi

Pour dynamiser votre carrière, nous mettons à votre disposition des offres d’emploi venants d’Alumni ou non. Vous pouvez également trouver votre futur collaborateur parmi nos diplômés.

 

Actualités

Suivez nos actualités, celles de vos différents groupes (écoles ou autres) et les événements disponibles.

 

Pour toute question, vous pouvez écrire à alumni@groupehema.eu

ou appelez le 01 64 62 62 46

 

Le Sport en ligne 

 

En milieu urbain, compte tenu de l’intensité du travail et du temps de transport, beaucoup hésitent à se rendre dans les salles de sport individuelles pour entretenir leur forme, surtout quand ils ne sont pas célibataires : souvent, ils paient un abonnement sans pouvoir en profiter pleinement. Le développement technique leur permet aujourd’hui de remplacer la salle par des séances en ligne sur internet.

Il peut paraître paradoxal d’envisager de faire du sport individuel, non pas en salle, mais en ligne. Et pourtant, nous assistons à une montée en puissance de ce modèle, qui est aussi, vous l’aurez compris, un business model – nous y reviendrons. D’ailleurs, il n’est pas tout à fait nouveau pour la génération de vos professeurs, qui se souviennent du succès que rencontra, durant la décennie 80, le duo féminin formé par Véronique de Villèle et Davina Delor à la télévision : il s’agissait alors de gymnastique ou de mise en forme, et il suffisait de faire comme elles, mais de l’autre côté de la caméra : on s’habillait dans la même tenue pratique, et l’on répétait avec elles les mouvements du corps.

sport en ligne

Ce qui est nouveau sans doute avec internet, qui, en cela comme en d’autres matières, a tendance à détrôner la télévision, c’est que la gamme des activités physiques est plus étendue : fitness, musculation, cross training, arts martiaux, gymnastique, bien-être, cours de yoga, danses sportives, cardio, boxing, et même natation et aquagym ! Alors, bien sûr, pour ces trois dernières activités, il s’agit plutôt de tutoriels divisés en chapitres vidéos : peut-être qu’un jour, avec le progrès technique, nous arriverons à de véritables coachings en direct.

Mais pour les autres que nous avons cités, pour autant que vous vous soyez équipés convenablement chez vous, il est possible de vous adonner à votre activité sportive sans devoir prendre la peine de vous rendre dans une salle de sport. Et même, de cette manière, vous pouvez éventuellement vous offrir un coaching individuel plutôt que collectif : rien n’empêche un coach de vous consacrer une séance. Certes, le business model n’est alors plus le même, parce que le coach doit se faire payer. Or, l’avantage d’un coaching collectif, c’est que son coût est moindre que celui pratiqué dans un club. Mais en tout état de cause, tous les arrangements sont possibles.

Arrêtons-nous quand même sur cet aspect des coûts. Le nombre des participants permet à l’offre de pratiquer des coûts très bas, d’autant que les frais fixes sont évidemment beaucoup moindres que ceux d’une salle, surtout celles des grandes villes. Il n’empêche que le nombre de participants en ligne, avec possibilité pour chacun de poser sa question, son problème personnel, réduit forcément la possibilité d’un très grand nombre de participants, même si l’on peut imaginer des cotisations différenciées entre les participants actifs et les participants passifs qui ne peuvent se manifester. Ce qui obligerait à constituer des groupes, en réalité, moins nombreux que ne le permet la technique, donc à pratiquer des coûts plus importants pour que l’activité soit rentable.

Cependant, il n’est pas impossible que l’on voie apparaître, sous ce business model, une forme sournoise d’ubérisation, avec des coachs moins bien rémunérés qu’en salle. C’est un phénomène général, on le sait, et même mondial : l’évolution des outils de production détermine celle de nos rapports sociaux, comme l’a enseigné Marx, et cette évolution là pourrait bien accentuer la prolétarisation des coaches.

Alors cette catégorie de coach deviendrait comme le métier qui lui a donné son nom : le modeste cocher du fiacre… Mais, comme disait Kipling, ceci est encore une autre histoire…

 

Pour écouter d’autres podcasts sur l’actualité, rendez-vous sur la page Actualités de l’ESM-A.

Classement Eduniversal 2023

L’ESM-A est fière de vous annoncer que 3 de ses formations sont présentes au sein du Classement Eduniversal 2023

Ce classement récompense les meilleurs Masters, MS et MBA par catégorie.

 

Parmi les formations concernées on retrouve :

 

classement eduniversal

D’où nous vient la Saint Valentin ?

D'où vient la saint valentin

 

 

Nous approchons de la fête de la Saint Valentin, à la mi-février, et la question se pose à bon nombre de nos étudiants, qui pour la plupart sont jeunes et pleins de fougue, de savoir d’où vient cette tradition d’une fête des amoureux.

La Saint valentin, une tradition très ancienne

Eh bien elle est très ancienne, et comme la majorité de nos traditions, résulte d’un mélange entre notre héritage gréco-romain – en l’occurrence, ici, seulement romain – et l’imprégnation du christianisme.

On sait que la légende veut qu’au VIIIe siècle avant notre ère, deux frères, Romulus et Rémus, aient été nourris par une louve. C’est donc grâce à cette protection que Rome pourra être fondée plus tard par Romulus. A Rome donc, où l’année commençait non pas en janvier comme aujourd’hui mais le 1 er mars, on fêtait le 15 février les lupercales, du mot « lupus », le loup, et « arcere », écarter : le mot ainsi forgé est lourd de sens, il signifie que c’est une louve qui a protégé les enfants contre les loups. Il en est de même de la sexualité, qui est louve quand elle est prédatrice, mais qui est lupercale quand elle est encadrée pour produire une naissance.

Chaque mi-février donc, à Rome, des jeunes gens déguisés en faunes, vêtus d’un pagne de bouc, arpentaient les rues en riant et fouettaient gentiment les femmes qu’ils rencontraient avec des lanières d’un bouc qui venait d’être sacrifié par un prêtre luperque, toujours issu des plus anciennes familles fondatrices de la ville. Les épouses qui souhaitaient attendre un enfant se prêtaient de bonne grâce à ce jeu.

Paradoxalement, c’est un empereur persécuteur de chrétiens, Claude II, qui le premier, anticipa malgré lui un rapprochement avec le travail d’évangélisation populaire de l’Eglise. En effet, le 14 février 269, il fit décapiter Valentin, évêque de Terni dans le sud de l’Ombrie, région voisine du Latium, accusé d’encourager de trop nombreux mariages, qui en tant que tels diminuaient le nombre d’hommes célibataires disponibles pour le service légionnaire. A- t-il intentionnellement choisi cette date pour décourager les entreprises amoureuses des hommes jeunes ? Difficile de le savoir.

La fête des lupercales

Le temps passa. Rome devint chrétienne en 392, l’Empire se scinda en deux en 395, la Rome d’Occident s’effondra en 476, laissant l’évêque de Rome, chef de l’Eglise – les chrétiens d’orient ne le contestaient pas encore – seule autorité de la Ville suffisamment légitime pour devoir veiller à l’ordre public et à la régulation des mœurs. C’est dans cet esprit qu’en 494, le pape Gélase décida d’interdire la fête des lupercales aux chrétiens qui, par tradition, par habitude romaine, s’y livraient encore. On sait que l’Eglise, qui reconnaît des semences du Verbe, ou des vérités évangéliques partielles, dans les religions païennes, a superposé les fêtes chrétiennes sur des fêtes païennes, comme elle a souvent édifié des lieux de culte sur d’anciens temples, comme à Notre-Dame de Paris, par exemple. C’est dans ce même esprit qu’elle a profité de ce que le 14 février était bien la date anniversaire du martyre de Valentin pour évoquer une fête des amoureux.

Naturellement, cette fête n’entrant pas dans la liturgie, il lui fallut beaucoup de temps pour se répandre hors de Rome en tant que fête traditionnelle, dénuée de sens religieux à proprement parler ; d’ailleurs ce n’est que mille ans plus tard que le pape Alexandre VI l’institua officieusement « fête des amoureux ».

Une fête « commerciale »

Aujourd’hui, le marketing s’en mêlant, on encourage les couples qui s’aiment à s’offrir des cadeaux, un dîner au restaurant, quelque chose en tout cas qui exprime l’amour durable, donc fécond, l’amour « lupercal », qui protège des loups, des prédateurs. Ainsi a perduré cette tradition vieille de 2.700 ans.

 

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La retraite, un horizon introuvable ?

retraite

 

Comment réformer nos régimes de retraite pour répondre aux défis de l’avenir ?

Pour se faire une idée des difficultés qui attendent la société française, il convient de rappeler quelques chiffres. Car notre système par répartition n’est viable que pour autant que la démographie demeure saine. Un cotisant aujourd’hui ne cotise pas pour lui-même mais pour payer la retraite de celui qui vit en ce moment même à la retraite. Dans les années Soixante, environ Trois cotisants et demi payaient un retraité, lequel vivait en moyenne entre deux et cinq ans au-delà de son départ à la retraite, généralement fixé à l’époque à 65 ans.

Mais aujourd’hui, seulement Un homme et demi payent la retraite du retraité qui désormais a une espérance de vie de 20 ans après son départ. Nous vivons plus longtemps, c’est bien, mais
le poids des vieux s’alourdit toujours plus, dans un pays où les générations ne se renouvellent plus comme avant.

Alors, y a-t-il une solution ? Non, il n’y en a pas, du moins n’y en a-t-il aucune qui soit idéale. Certes, on peut reculer l’âge de la retraite, qui d’ailleurs en France est moins élevé que la moyenne européenne ; c’est probablement indispensable mais ce sera un cautère sur une jambe de bois, d’autant que l’on prévoit à l’horizon 2050 une espérance de vie encore allongée de dix ans supplémentaires : trente ans de vie à la retraite, contre entre deux et cinq ans dans les années Soixante où la natalité était dynamique : dans quelque direction que l’on se tourne, le problème reste entier.

Certains préconisent d’améliorer le système par répartition par un système par capitalisation. Ce n’est pas bête en effet, à condition que la monnaie dans laquelle cette capitalisation ne soit pas soumise à une érosion au fil des années, ce qui est bien le cas de l’euro, dont le pouvoir d’achat ne cesse de baisser. D’autre part, cette capitalisation n’est jamais à l’abri des tempêtes financières qui surviennent régulièrement dans notre économie où la spéculation boursière dépasse de trop haut la richesse réellement produite. Sans même parler des escroqueries comme celle de Madoff ou plus récemment de Bankman qui ont réduit à rien les fonds de pension de milliers d’épargnants, mais encore ce phénomène reste-t-il, somme toute, marginal.

L’essentiel est de savoir que, dans ce domaine, on en revient à l’enseignement de Jean Bodin, le grand économiste angevin du XVIe siècle : « Il n’est de richesse que d’hommes ». Dans un système de retraite comme le nôtre, par répartition, moins d’hommes égalent moins de richesse. Nous ne sortirons pas de cette impasse, quelles que puissent être les innovations concertées entre les syndicats et le Gouvernement ; mais, dans le débat politique qui risque bien de monter en température à ce propos en janvier prochain, il n’est peut-être pas nécessaire de s’en rendre compte, puisque, ainsi que nous le savons, la politique est d’abord et avant tout le royaume de l’imaginaire.

 

Sources :

Réforme des retraites : les points déjà tranchés et ceux qui sont encore en discussion

Réforme des retraites : qui sera concerné ? Ce qui vous attend en 2023

La Journée des talents du 16 novembre 2022

journée des talents ESMA

 

Le mercredi 16 novembre dernier a été consacré à la première Journée des talents de notre année scolaire 2022-2023, premier événement d’un cycle comptant trois journées tout au long de l’année. Trois interventions ont eu lieu, les deux premières du matin se complétaient, et celle de l’après-midi était spécifique, plus immédiatement pratique au service de chaque étudiant présent.

Culture d’entreprise et pressions du marché

M. Moracchini, professeur de géopolitique et d’économie, a offert à son auditoire un brillant exposé consacré à un face-à-face permanent entre la culture de l’entreprise en général et la pression du marché.

On sait que le marché est le lieu de rencontre entre l’offre et la demande, tandis que l’entreprise est l’organisation qui régit la quasi-totalité de la vie moderne. Notre existence en effet est en grande partie portée par l’entreprise, seule capable d’assurer la satisfaction de nos besoins et de nos désirs.

Il se trouve que, contrairement à ce qu’on pourrait croire, les deux logiques, celle du marché et celle de l’entreprise, ne se confondent pas, bien au contraire. L’entreprise ne peut pas être libérale comme peut être le marché. Elle a besoin d’organisation, de management, et l’on sait bien que dans l’histoire passée, l’expérience de l’autogestion s’est révélée décevante. Autrement dit, on ne peut pas trouver dans l’entreprise la même horizontalité que l’on trouve dans la loi de l’offre et de la demande, où l’équilibre est la règle, mais un équilibre fait d’égalité entre les deux pôles.

Ainsi, toute extension du domaine de l’un provoque une réduction du domaine de l’autre. En revanche, seul le mariage de l’entreprise avec le marché lui permet d’être efficace. Après cela, votre serviteur a posé la question de savoir dans quelle mesure l’entreprise peut être le lieu de l’épanouissement de l’homme. Sans nul doute, elle est un facteur d’intégration de l’individu dans le corps social en lui donnant une identité professionnelle qui participe à son identité sociale : voici que passe le facteur, voici le directeur de achats, voici le professeur, etc. mais elle peut être aussi un facteur d’aliénation en servant d’outil d’exploitation de l’homme par l’homme. En somme, elle est comme la cité elle-même, qui est comme la langue d’Esope, la meilleure et la pire des choses. D’où la nécessité de l’encadrer par la loi. Mais pour cela, il faut également poser des questions institutionnelles, pour protéger l’Etat lui-même du pouvoir oligarchique de l’argent.

Debriefing des grilles Innermetrix

L’après-midi a été consacrée à l’Entreprise et ses talents. L’Ecole avait invité M. Lebœuf, spécialiste en création d’entreprise et coaching, mais invité ici comme spécialiste certifié du test Innermetrix, une procédure psychométrique permettant aux étudiants comme aux collaborateurs d’entreprise – dans notre Ecole, ce sont les mêmes, puisqu’ils sont en alternance – de mieux se connaître en mesurant le rapport entre leurs différentes valeurs et prédispositions, mais aussi entre les différentes qualités réclamées par l’entreprise, ce qui suppose une capacité d’adaptation du sujet entre son naturel et son adapté. M. Lebœuf a donc fait un debriefing des grilles d’Innermetrix renseignées quelques jours plus tôt par les étudiants présents. Il s’agissait d’appréhender les compétences transversales, les modes de comportement, les leviers de motivation et les schémas de pensée pour la prise de décision.

Une belle journée riche d’enseignements aussi bien théoriques que pratiques, à l’instar des différents cursus proposés par notre Ecole, spécialiste reconnue de l’alternance.

 

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Rentrée décalée de Janvier

 

La désillusion de la rentrée : une réorientation envisagée

Il est parfaitement naturel qu’un étudiant en recherche de son bon positionnement puisse s’engager malgré lui dans une voie dont il découvre, rapidement mais tout de même après avoir fait sa rentrée, qu’elle n’est pas celle qui lui convient. Il n’y a pas à culpabiliser là-dessus, c’est normal, les offres de formation sont tellement variées que le jeune s’y perd quelquefois. Ce qui serait cruel, ce serait de condamner ces étudiants – qui, avec la meilleure intention du monde, se sont mal orientés au moment de la rentrée classique – à devoir supporter de perdre une année académique tout entière en attendant de mieux s’orienter l’année suivante.

Notre solution : la rentrée de janvier

C’est la raison pour laquelle nous leur offrons la possibilité de concourir en janvier. Ainsi n’auront-ils perdu qu’un trimestre. A nous de leur proposer, dans les premiers temps de leur formation en alternance, un parcours académique plus intensif ou plus long, c’est-à-dire s’achevant non pas en été, mais en automne, qui leur permettra de rattraper leur retard et de bénéficier au bout du compte de la même qualité de formation que celle dont ont bénéficié leurs camarades entrés en octobre. Il ne s’agit donc en aucun cas d’un parcours diminué, donc dévalorisé : nous avons prévu de l’aménager en fonction des circonstances, de sorte qu’il reçoive les mêmes garanties de qualité que le parcours classique démarré en octobre. Alors, oubliez vite votre erreur d’aiguillage, ne restez pas sur ce que vous avez regardé comme un échec, n’hésitez pas à retomber sur vos pieds en vous inscrivant au concours de janvier. Bienvenue dans notre école de toutes les chances !

Plus d’informations sur notre rentrée de janvier

Vous souhaitez vous réorienter ? La rentrée d’octobre était trop proche pour vous ? Vous avez commencé un cursus qui ne correspond pas à vos attentes ? Grâce à la rentrée décalée des écoles ESM-A, ESCI, ISEAM et ISEADD, intégrez la plupart de nos programmes sans perdre votre année tout en étant en alternance. rentree-janvier-670x320

En pratique :

De janvier à février 2023, vous aurez un programme intensif de remise à niveau : le rythme habituel de votre alternance sera inversé, soit 3 jours en cours et 2 jours en entreprise. Ainsi vous pourrez rattraper les cours du premier trimestre tout en assistant aux cours du second trimestre classique. A partir de mars 2023, vous revenez dans le parcours de l’alternance classique avec 3 jours en entreprise et 2 jours en cours. Vous pourrez donc obtenir votre diplôme en même temps que les étudiants rentrés en Octobre !

Admissions :

Comme pour la rentrée d’octobre, les admissions se font sur concours. Pour plus de renseignements, voir notre rubrique Admissions. Vous pouvez candidater avec ou sans entreprise. Notre Département Entreprises vous prendra en charge.

Home in Love, votre aide pour trouver un logement

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Le marché automobile mondial

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Le passé de l’industrie automobile

On croit que la tendance au regroupement des marques automobiles ne date que d’un demi-siècle environ, et il est vrai que dans les années Soixante, pour ne parler que de la France, on pouvait voir rouler sur nos routes non seulement des Peugeot et des Renault, mais des Citroën alors indépendantes, des Simca, des Panhard, des Alpine, des Facel-Vega, des Hotchkiss, des Matra, etc.

La plupart de ces marques ont disparu ; d’autres se sont réorientées, comme Matra et Panhard vers la Défense, et d’autres encore, notamment la fameuse marque Citroën qui s’était couverte de gloire, ont été absorbées par une autre, en l’occurrence Peugeot qui est devenue PSA.

En fait, cette tendance est constante depuis les débuts de l’industrie automobile : dans les premiers temps, le client pouvait commander son propre modèle au constructeur, selon ses goûts, puis Renault et Ford ont standardisé la production, à mesure que l’automobile devenait accessible à un plus grand nombre.

Le marché automobile d’aujourd’hui

Suivant la mondialisation des échanges, et avec elle le durcissement de la concurrence, la tendance au regroupement n’a fait que se poursuivre, et dernièrement, le géant PSA lui-même a fusionné avec Chrysler et surtout un autre géant, Fiat, pour donner le groupe Stellantis : en réalité, donc, rien de vraiment nouveau sous le soleil.

Malheureusement, cette opération, qui concerne tout de même plus de 400.000 salariés, s’est déroulée dans le contexte actuel de la pandémie et de la crise économique qui en découle : on observe dans le monde un net recul des ventes depuis 2020. Pire encore, le groupe fait de plus mauvais chiffres que la moyenne mondiale, de sorte qu’au lieu de se hisser au quatrième rang mondial, comme espéré, il n’occupera que la sixième place, derrière, dans l’ordre, Toyota, Volkswagen, Renault-Nissan, General Motors et Hyundai.

En moyenne, le recul mondial est de 14%, mais le secteur connaît également une forte mutation dûe à l’engagement pris par les constructeurs de fabriquer plus de véhicules électriques. Une exigence qui se durcira encore dans l’avenir, puisque la Commission européenne prévoit de mettre en place sa norme euro 7 dès 2025. Déjà l’Europe est le deuxième marché mondial de véhicules électriques derrière la Chine, un pays exposé plus que tout autre à la pollution de l’air.

L’avenir du marché automobile

Ce que l’on retenir de plus important, en-dehors de ces considérations conjoncturelles, c’est que la fabrication automobile est un facteur de puissance, par le précieux savoir-faire qu’elle exige. Or, ce n’est pas demain la veille que l’on pourra se passer des véhicules individuels, pour la simple raison qu’on ne saurait pas, aujourd’hui, par quoi les remplacer : l’âge du cheval est passé, les transports en commun demeurent ce qu’ils sont, des moyens commodes pour se déplacer sur des lignes fixes, mais certainement pas des outils de liberté individuelle.
Quelle que soit la forme qu’elle prendra, l’automobile a encore de beaux jours devant elle. Et c’est précisément parce qu’elle est de plus en plus sophistiquée que son coût de fabrication doit être amorti par un effet de masse critique qui a fait apparaître, cette année, Stellantis.

 

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